Le droit de la famille concerne notamment :
En matière de divorce, la représentation des époux par un avocat est obligatoire quelle que soit la procédure envisagée.
Depuis la loi du 26 mai 2004, la procédure est devenue plus facile, plus rapide et plus économique. Il existe aujourd’hui 4 moyens pour divorcer : Le divorce par consentement mutuel, le divorce par acceptation du principe de la rupture du mariage, le divorce pour faute et le divorce pour altération du lien conjugal.
Bien choisir son avocat détermine grandement « la réussite » du divorce.
Le cabinet de Jérôme Spyridonos est particulièrement attentif à établir une relation fondée sur la confiance avec son client dont il est le représentant mais aussi le confident. Son rôle consiste à l’assister, le conseiller et bien sûr le défendre.
Le cabinet de Jérôme Spyridonos intervient également après un divorce afin d’obtenir une diminution ou une revalorisation du montant de la pension alimentaire versée au titre de la contribution à l’entretien ou à l’éducation des enfants communs, ou une modification du droit de visite ou d’hébergement du parent n’ayant pas la garde habituelle du ou des enfants.
Le cabinet de Jérôme Spyridonos vous aide à bien négocier, vous assiste et vous conseille afin que la convention corresponde au mieux à toutes vos aspirations, que ce soit au niveau de la contribution à l’entretien et à l’éducation des enfants, de la prestation compensatoire, de la résidence des enfants ou du devenir du logement familial.
La négociation est très importante. Il ne faut pas oublier qu’il est toujours plus facile de respecter ce qui est décidé plutôt que ce qui est imposé. Il ne faut pas, pour autant, tomber dans l’excès inverse et tout accepter. Les choix d’aujourd’hui vous engageront pour l’avenir et tout changement nécessitera de nouvelles procédures judiciaires.
Le cabinet de Jérôme Spyridonos vous assiste dans vos démarches administratives.
Dans les quinze jours à trois semaines qui suivent l’audience, l’avocat reçoit le jugement de divorce et se charge de toutes les démarches administratives afin que les transcriptions officielles sur les actes d’état civil soient réalisées dans les meilleurs délais.
Cette nouvelle procédure remplace le divorce pour rupture de la vie commune qui pouvait intervenir après six ans de séparation de fait. Désormais, une « séparation de fait » (défaut de cohabitation) de deux ans suffit.
Ce divorce est intéressant pour l’époux qui veut divorcer alors que l’autre refuse et contre lequel il n’existe aucun élément pour retenir une faute.
C’est aujourd’hui, le seul motif qui permet à un époux de divorcer alors que l’autre refuse.
Travaillons ensemble